Le « Journal of Nutrition and Metabolism » a publié une étude scientifique qui a démontré que le programme Metabolic Balance est particulièrement efficace pour la perte de poids, avec en outre de nombreux bienfaits sur la qualité de vie en général.
Cette étude a été réalisée en collaboration avec le Département de Gestion de la Qualité et de Médecine Sociale du Centre Médical de l’Université Albert-Ludwig de Fribourg (Allemagne). Les résultats de l’étude montrent clairement qu’avec Metabolic Balance, les personnes en surpoids réduisent leur surcharge pondérale de manière efficace et que cette perte de poids est maintenue.
Selon l'Institut de Médecine, le succès à long terme d'un programme d'amaigrissement est constaté lorsque le poids corporel est réduit d'au moins 5% et que la perte de poids est maintenue pendant au moins un an.
De façon surprenante, 62.5% des participants du programme Metabolic Balance ont atteint l'objectif des 5% pour l'année en cours, tandis que 31.1% des participants ont même atteint une perte de poids de 10% et l'ont maintenue pendant plus d'un an. Dans une étude d'évaluation d'un certain nombre de programmes de perte de poids ambulatoire, seulement 50 % des participants étaient parvenus à atteindre l’objectif des 5 % de perte de poids et seulement 20 % avaient perdu au moins 10 % de leur poids initial.
Lors de l'étude, les chercheurs ont constaté des améliorations des valeurs sanguines en plus de la perte de poids. Par ailleurs, un autre résultat favorable constaté dans cette étude était l'amélioration flagrante de la qualité de vie des participants.
Au début de l’étude, seulement 38 % des participants déclaraient qu'ils jouissaient d'une qualité de vie convenable (valeur normale en Allemagne : 75 %). De nombreux participants se plaignaient au contraire de limitations significatives de leur qualité de vie. Au bout d'un an, la qualité de vie des participants s'était nettement améliorée. 68 % des participants se déclaraient désormais entièrement satisfaits de leur qualité de vie.
En outre, au début de l’étude, 27 % des participants affirmaient souffrir de problèmes de santé. Au bout d’un an, ce pourcentage était passé à 11,3 % et correspondait ainsi quasiment à la valeur moyenne de la population allemande (10 %).